Derrière une vitrine d’échanges « culturels », le jumelage entre Toulouse et Tel-Aviv vise à développer un partenariat économique avec l’apartheid israélien et sa capitale. Quelques exemples :

  • La Chambre de commerce France-Israël à Toulouse : elle est vouée à faire la promotion des échanges bilatéraux entre les entreprises d’Occitanie et d’Israël. A travers cet organisme, des échanges sont nés dans le domaine de l’aéronautique, mais aussi des biotechnologies et des nanotechnologies.
  • La Coopération universitaire :  elle a pour but l’accélération des relations entre l’Université de Tel-Aviv et les universités toulousaines, sous forme de programmes de doctorats conjoints, d’ateliers communs et d’échanges d’étudiants et de professeurs.
  • La Semaine de la gastronomie française en Israël « So French So Food » : instaurée depuis 2012, cet événement co-organisé par la chaîne de supermarchés israélienne Shufersal et l’Ambassade de France en Israël est parrainé par la ville de Toulouse. Quelques dizaines de chefs cuisiniers et des entreprises de gastronomie française organisent des festivités culinaires dans plusieurs villes d’Israël.

Nous dénonçons ces accords et partenariats qui participent à normaliser l’image et les relations avec un État qui développe une politique d’apartheid et qui continue de coloniser toujours plus de territoires palestiniens, en particulier en Cisjordanie occupée et à Jérusalem.

Je signe la pétition en ligne et je la fais signer autour de moi
Je participe à la campagne #StopJumelageToulouseTelAviv