Du 14 au 24 janvier 2023, le réseau international et plus de 230 organisations dans le monde ont organisé une Semaine internationale d’actions pour la libération d’Ahmad Sa’adat et de tous les prisonniers palestiniens. En France, plus de 40 organisations de France ont organisé des initiatives dans une quinzaine de villes. Ces actions ont eu un écho dans plusieurs médias que nous relayons ci-dessous :

 

  • Émission de l’Actualité des luttes avec un membre du Collectif Palestine Vaincra sur Radio FPP : « Ahmad Sa’adat et les prisonniers palestiniens : quelles solidarités ? »
  • Interview du Collectif Palestine Vaincra par le site revolutionpermanente.fr paru le 25 janvier 2023 : « Mobilisation pour Ahmad Sa’adat : « soutenir les prisonniers c’est soutenir la résistance palestinienne »

« On voit donc que la question des prisonniers politiques est importante pour le peuple palestinien, mais aussi pour l’occupation israélienne qui veut tenter de les faire taire car ils restent des leaders de la lutte pour la libération de la Palestine en dépit de leur emprisonnement. C’est pour ça que la cause des prisonniers palestiniens est si centrale. Les soutenir c’est finalement soutenir la résistance palestinienne dans sa lutte anticolonialiste. »

  • Interview du Collectif Palestine Vaincra par le site lis-isl.org paru le 26 janvier 2023

« Aux côtés de l’ensemble des 4700 prisonnières et prisonniers palestiniens, Ahmad Sa’adat est un leader de la résistance palestinienne. Exiger leur libération immédiate c’est donc se placer aux côtés de cette résistance. Exiger leur libération immédiate c’est aussi soutenir les prisonniers politiques dans les geôles impérialistes, à l’image du communiste libanais Georges Abdallah emprisonné en France depuis 1984. »

  • Article du Collectif Palestine Vaincra paru dans le N°327 du mensuel Courant Alternatif : « Soutenir les prisonnier·es palestinien·nes, c’est soutenir des résistant·es »

« Soutenir les prisonnier·es palestinien·nes ce n’est pas seulement soutenir des victimes de la répression coloniale, mais c’est d’abord soutenir des résistant·es face à l’occupation. Depuis l’intérieur des prisons de l’occupation, ils et elles développent leur lutte individuelle et collective : regroupement par partis politiques, élection de leurs représentant·es, déclaration politique, organisation d’écoles et de formation, grèves de la faim individuelles et/ou collectives, etc. Ainsi, les prisons israéliennes sont aussi de véritables « écoles de la révolution » comme le souligne le combattant palestinien Asim Ka’abi actuellement en détention administrative. »